lundi 22 novembre 2010

Le début de la fin- le syndrome du voyageur en herbe?

Quelques semaines et quelques 750 km plus tard...

Depuis mon passage dans les magnifiques régions pittoresque de la Dordogne, de la Beauce et des autres régions du centre de la France, en plus du retour des saison froide à saveur hivernale, une série de question martelle soudainement ma matière grise. Quand devrais-je arrêté mon périple à vélo? S'agit-il de mon premier et dernier périple à vélo avant le retour à la normalité ?(le fameux métro-boulot-dodo encastrant)Une série de question obsédante lorsque le doute s'installe. T-elle fût mon discours intérieur de mes derniers jours à vélo.

Quoique nécessaire pour des raisons financières et administratives (le fameux visa),  il m'est encore difficile de répondre à cette douleureuse décision, puisque mon statut cyclo-nomade est motivé par un carpe diem intemporel (hélas, pas mon compte en banque!!).Malgré tout les avantages du confort moderne, il m'apparaît difficile d'imaginer un autre scénario que celui de la liberté de l'expression et du mouvement ! Tout comme une drogue, ce périple à vélo m'a donner un que je peu difficilement mettre à l'écart. Cette sensation quasi-orgasmique de parcourir un monde sans fin. De découvrir ses habitants, ses cultures et toutes ses différences, à la vitesse d'un papillon. Que demander de plus!

Sans doute qu'une cure géographique procure un rétablissement en ce sens. Néanmoins, je comprends d'avantage les accrocs du voyage. Les nomades qui ne tiennent plus compte de la réalité, fuyant leurs devoirs de citoyen.Peux t-on vraiment les blâmer? 

En cela, je vous propose la réflexion suivante. Une question sur laquelle bon nombre de philosphe ce sont cassé les dents depuis: L'homme est-il foncièrement nomade ou sédentaire?

Entretemps, je me prépare pour la suite, soit un retour vers le Québec en décembre prochain.

(A suivre)