lundi 11 juillet 2011

En mode préparation pour mon périple vélo-découverte dans les maritimes...

Et oui, je reprends la route avec un nouveau projet en poche!  C'est donc vers les maritimes que je débuterai ce voyage. L’objectif premier sera de parfaire mes connaissances sur le tourisme expérientiel et maximiser le potentiel de rendement de mon nouveau*concept à vélo.

À priori, pour démontrer la pertinence du vélo, en guise de moyen de locomotion privilégié pour mieux ce découvrir. J’appelle cela l’école de l’apprentissage par l’expérience!

Puisque, rien n’équivaut le plancher des vaches pour apprendre, je vous donnerez plus d'informations sur mon concept de séjours expérientiels à vélo, tout au long de ce périple-éclaireur...

Ainsi, vous serez témoin de mon travail sur le terrain et ma mission de faire découvrir le mode de vie des artisans, tout en pédalant à la vitesse du temps!

En mots, en images et en émotions!!

Première destination,...Caraquet, la capitale des Acadiens

*Les séjours expérientiels à vélo sont le fruit de mes expériences cyclotouristques mais aussi mon désir de concevoir des circuits personnalisé , porteur de sens, par les sens, pour revenir à..l'essentiel! Quoi de mieux que le vélo pour réunir tout cela ensemble! 

mercredi 25 mai 2011

Il était une fois...les indiens

De retour du far-west américain, de ma rencontre avec les Navajos (leur territoire et leur culture) combiné  au développement de mon nouveau concept de séjour expérientiel à vélo, je vous propose une réflexion à "air ouverte", sur le sens de l'apprentissage selon la philosophie amérindienne;

  Les amérindiens nous ont laisser, aux cours des siècles, un monde empreint de mythes, de symboles et d’éléments  sacrés . Ce peuple, jadis,  uni à la terre. Mais que reste-t-il de la richesse de leurs enseignements? Est-il enseveli sous le poids du monde moderne? Bien que l'impression que la ligné des connaissances amérindiennes ce soit dissout, voir même éteinte, elle est toujours vivante. D'une richesse et d'une valeur inestimable, aux yeux de ceux capable de comprendre l'essence de leurs traditions et de leur communion avec la terre mère.

Pour ma part, plus les années passent et plus je réalise l'importance de revenir à la maison.. Je ne fais pas illusion à une adresse civique quelconque (quoique nécessaire pour mieux s'enraciner!) .mais plutôt un état d'être propre à un sentiment maternel. La sensation de renouer avec la chaleur humaine, la simplicité par l’équilibre des quatre éléments. Bon, je vous mets en garde; aux cours des dernières semaines., j'ai "épluché" un nombre considérable de livre dédié à la philosophie amérindienne. Accroc d'un retour aux sources par la voie simple et naturel, je ne fais que du rattrapage académique!

À ce sujet, et selon mon avis, les écoles publiques gagneraient d'avantages à orienter leurs approches académiques de manière plus globale. Pour mieux ce comprendre afin de mieux interagir avec son environnement intérieur et extérieur. Du chinois, vous me direz! N'empêche. les écoles de demain qui miseront sur l’apprentissage qualitatif (moins mais mieux) par l'expérience deviendront, un jour, une nécessité pour pallier les maintes déficit du monde moderne. Loin des établissement misant essentiellement sur un apport quantitatif (toujours plus,plus, plus d'informations!). Car au-delà du paraître, de l'avoir, du faire et du savoir, réside un élément souvent négligé l'être.

En ce sens, le mode de vie ancestral des amérindiens peux nous transmettre une manne de possibilité et d'alternative, issu de l'école la plus modeste qui soit; C-elle de la vie. La nature étant sa tutrice.  Pensez-y, un retour aux sources obligé, avant que l'être devienne le faire!



Avant de se faire aspirer par son inspiration

L'inspiration me déborde l'imaginaire depuis quelques temps!.
Voici donc un poème sur mesure pour tous les artisans de ce monde;

Elle arrive de partout et de nulle-part.
L’envie d’inspiration peu vous prendre à tout instant,à toutes heures de la journée,
Ce vas-vite causé par un esprit trop agité,
San doute une manière d’évacuer la vacuité du cerveau avant de déborder!
Alors toujours, soyez prêt, toujours au boulot,
Elle arrive soudainement, sans avertissement,
Ou elle nous boude pour un certain moment.
Mais toujours, elle nous surpasse inlassablement.
Maîtresse de la folie, elle s’acharne sur n’importe qu’elle idéologie,
En autant qu’elle puisse assouvir sa fantaisie, réinventer le monde selon ses envies.
Alors allez-y, faite lui plaisir, ouvrez votre esprit, faite de la place pour son génie.
Toujours elle vous surprendra par sa poésie, sans répit.
Puisque l’inspiration est votre plus précieux alibi,
Pour donner vie à vos fantasmes endormis,
Par le conte, la poésie, ou même la philosophie.
Mais toujours pour défense, il faut se détendre.
Car fatigué d’être condamné par sa voie chantante,
Vous devez trouver un moment de silence, avant d’appuyer sur la détente!

dimanche 17 avril 2011

Premier coup de pédale de la saison..dans la jungle urbaine!

Premier coup de pédale depuis les cinq dernier mois. Certes la fatigue musculaire ce fait vite sentir, le manque de coordination et les réflexes aussi, mais le plus atroce reste le décor extérieur qui ce dessine devant moi. Atroce puisque le cycliste que je suis, semble soudain un obstacle pour les autres usagers de la route (étrange, puisque j’ai roulé pendant des mois, dans divers pays. Le respect était de mise, ici, c’est forcément autre chose!). Je suis donc perçu comme un gros boulet sur deux roues, qui devrait presque s'excuser de choisir un mode de transport moins énergivore et moins rapide que la flotte qui me colle à l’arrière-train. Je persiste et signe; Avancer à la vitesse d'un papillon est un bénéfice en soi, pour le corps, le mental et…sauf lorsque précipité dans la tyrannie de la jungle urbaine! Et je vous parle d'une petite ville comme Québec, imaginer les autres métropoles alors! Le choc est soudain, de voir, certains, automobilistes, fous furieux, enragés et dominants sur des routes empreints de nids....d'autruches!! Assez gros pour vous engloutir tout entier! J'en ai presque fait l'expérience, dès mon arrivée sur le bitume fissuré de la rue principale.

Pas grave, t'as juste à prendre ton char comme tout le monde, de répliquer la horde de fidèle qui ne jure que par leurs engins mécaniques sur quatre roues, qui crache des bruits et des odeurs qui étouffe le bruit déjà sourd de mon coup de pédale méthodique.

Enfin, il ne me servirait à rien de sur-louangé le véhicule de l'avenir. Ben oui, le vélo! Le temps, et les questions environnementales, versus le charivari des méga lobbyings de l'industrie du pétrole et de l'automobile, finiront bien par donner des résultats. Tôt ou tard, les fautifs finiront bien par ce mettre un doigt dans l’engrenage. (D’ici-là, Ils peuvent bien ce le mettre là ou je le pense!) N'empêche, si je devais dépeindre un monde sensé et parfait, je crois l'automobile, le premier élément que je foutrais à la poubelle!

Confession d'un cycliste engagé, enragé mais passionné de cette petite merveille appelé le vélo.

« Et dire que je m’apprête à pédaler une série de kilomètres, avec zéro entraînement vélo depuis les derniers mois, sur les terres Navajo du Colorado, dans moins de quelques jours. (Je sens déjà mes mollets, mes fesses et mes cuisses me hurler l’atrocité de ce supplice aux oreilles!) »

dimanche 3 avril 2011

Entrevue radio et préparation "mentale" pour le Colorado.

Pour en savoir plus sur mes futurs séjours expérientiels à vélo (à la carte), mes conférences-partages et la suite de Philo@vélo / synthonisez le 100,3Fm 100.5 câble et sur la planète par internet www.cihw.org. L'émission Option;Noble Nature à la radio communautaire de Wendake. Pour le meilleur par bons plaisirs. Merci de partager au plus grand nombre!
Ce sera l'occasion d'exprimer ma position face au jeunes, la société, la consommation, les changements climatiques "intérieur", le Dieu web, et surtout comment tout c'est élément s'interfèrent dans notre époque actuelle. 
Le Grand Canyon sera l'étape suivante de "backwash" pour faire de la place pour du neuf. Je sens que je vais être très occupé dans les prochaines années!!  Mais je reste vigilant pour suivre la consigne à la lettre; Un coup de pédale à la fois!

jeudi 31 mars 2011

À tout les reproducteurs de services, désabusés d'un mode de vie banal....

Il y a longtemps de cela,  j'étais un reproducteurs de services/ fonctionnaire-fonctionnel par besoin et non par plaisir (Ben quoi? je devais mettre du beurre sur mon pain, au lieu de la margarine!), malheureux, parce que désabusés d'un mode de vie devenu banal, prévisible et donc fatal (ce sont les  symptômes existentiels- les dépendances- qui parle d'eux-mêmes.)J'avais donc recours à une série d'exutoire pour pallier mon manque de vrai et d'essentiel.

Jusqu'au jour ou je fis une visite qui changea ma vie;

Je me rappelle le jour ou j'ai visité l'abbaye de St-Benoît du lac. Un impression de déjà-vu m'envahissa dès mon arrivé sur les lieux..Bercé par un silence absolu, enveloppé par un amour fraternel sans conditions, je me sentais porté par cet endroit défiant les lois du temps et du conditionnement...humain. Étais-je promu à devenir un moine? Dans la contemplation et la réflexion du moment,  Moi, girouette depuis toujours, résolu à voyager et ne jamais m'arrêter?Ce moment fût sans doute l'initiateur d'une série d'événement mystique qui m'amène à ce jour.

Selon moi et bien que la vie en communauté existe depuis toujours, elle c'est littéralement effriter pour faire place au culte de l'individualisme. Porté par des modes de vies toujours plus sédentaires et oh! combien...solitaires. .PLUS, PLUS, PLUS DE MATÉRIEL POUR MOINS, MOINS, MOINS DE SPIRITUALITÉ!!Ainsi vas le progrès, depuis l'ascension fulgurante des sociétés «dîtes» modernes, l'essence de la vie communautaire, tends à disparaître.

Autrefois le lien solidaire entre les peuples de même culture à travers le monde arts, des religions et depuis peu des activités sportives (la saga du retour des bleus à Qc, en est une preuve flagrante!). La devise du Tous réunis pour une même cause semble avoir préalablement remplacé par un me, myself and I catégorique. Les faits et l'effet- domino de l'individualisme parle d'eux-même, je ne fais que relater!


Afin de mieux vous situer dans cette réflexion, je vous propose la vison de Jean Vanier (fondateur des communautés pour handicapés l'arche)sur les communauté, leurs origines et leurs raisons d'être; L'essence de son livre;  communauté lieu de pardon et de fête, ce résume à ceci; Servir au lieu de ce servir. (Pour guérir et détruire le nain de l'indifférence qui cause des dégâts plus atroces que n'importe lequel Tsunami!!)





vendredi 11 mars 2011

Soi le chemin en créant celui qui te convient

Ce petit bout de phrase m’a harcelé tout au long de mon voyage à vélo. C’est maintenant que j’en comprends la signification. Dans la vie tu as deux choix; être l’artisan de ton bonheur ou de ton malheur. Chaque gestes, paroles que tu engage te révèle à chaque instant. Depuis mon retour, je suis tiraillé avec cette dualité constante; Reprendre la route ou rester? Choisir d’être une victime ou créateur de ma vie? Les règles n’ont pourtant pas changé depuis.  Je m'empreint donc de l’évidence de cette réflexion pour mieux extirper le vieux malaise qui attends tout voyageur en herbe;  la nostalgie. Surtout pour éviter de me faire emporter par le vague à l'âme de l’indécision!
Les montagnes russe de l’existence humaine me donne parfois le haut le cœur. Imprévisible certes, mais aussi long qu’incertain par moment. Une chose est certaine, je fais face à une série d'attente depuis ce retour. Un must pour que l'ennuie puisse ce frayer un chemin. Car qui dit attente dit également ennui. Alors aussi-bien vous exprimer ma vision de l'ennui sur nos modes de vie..Moderne, mais oh! Combien médiocre et vide de banalité. L’ennui, ce tueur silencieux que je qualifierai de virus contagieux, se propage à une vitesse vertigineuse dans notre monde moderne. L'ennuie ce fait ami avec les attentes causé par l'envie, et vice-versa. Attention! Il est peut-être plus près que vous ne le croyez! Puisque le besoin de remplir, de vider, de bâtir et de détruire semble être son petit rituel de chaque instant. Une sorte de routine éternelle de l'existence humaine. Ce vas-et-viens est la somme de cette expérience appelé la vie. La sécurité physique et même émotionnel, qui en découle, n'est ainsi que pure illusion. Un mirage qui attrape bon nombre d’entre-nous. Un piège à rat très efficace!
Puisque la vie, à son expression la plus simple est un monde en devenir;
 L’expression véhiculé par les émotions, déferle sur cette toile et enchaîne une série de monde infini. L’artisan du bonheur ce réjouis de sa participation à travers un pareil chef-d’œuvre et ce régal même de ses erreurs. Tandis que l’artisan du malheur subit les traumatismes, les failles et le vide créer par les mêmes émotions et contemple le syndrome de sa propre toile blanche! Aspiré à une vie de… désespéré!

lundi 21 février 2011

Tel l'érable qui laisse couler sa sève

Décidément,  je suis sur le mode poétique depuis les derniers jours! Sans doute la saison des libérations, celle du cœur et la fonte des neiges qui annonce le retour d'un doux printemps.. Je me sens comme l'érable qui laisse couler sa sève. Cette soudaine libération me permet de mieux me comprendre dans un contexte hautement individualiste. Le choc d'un monde solidaire face à un monde...solitaire!! (les voyageurs des pays émergent savent de quoi je parlent) Je vous propose donc ce poème, en guise de réflexion sur l'expression dans toutes ses formes;


Crier ou créer, c'est la même chose,
C'est l'art d'exprimer par le dedans, ce qui étouffe par le dehors,
C'est faire évacuer son potentiel, son trésors,
Le donner à l'autre, sans effort,
Par la plume, par la parole, haut et fort,

Proclamer sans hésiter, le souffle de vie qui meurs d'envies,
De se libérer, pour se dénoncer et retrouver la vrai sérénité qui ce suffit,
Pas un jeu ni un travail ardu, encore moins un métier,
Une simple manière de laisser aller et de libérer le trop tendu souvent castré,
Dans le monde des apparences, ce petit exercice devient presque une transe,
Pour nous permettre de toucher l'invisible pour le rendre indivisible,
Et le témoigner sans gêne, en toute liberté, et sans prétexte inutile!!

Sinon "pogner" je resterai,
Et mon mal de vivre, je m'en étoufferai........

Maintenant, à vous de jouer et de vous raconter dans votre propre créativité!


lundi 31 janvier 2011

La vulnérabilité; École suprême de l’humilité

Inspiré par le phénomène des sports extrêmes, et le festival du film de montagne de Banff (avis aux amateurs de sensations fortes, prochain r-v, février 2012) mon billet portera sur la peur. Rien de moins. À peine sortie de la salle, plusieurs  questions me contaminait déjà le cerveau; Puisque cette émotion véhicule plusieurs motifs propre au surpassement de l'homme. qu'est-ce qui pousse un être humain à mettre sa vie en péril? Sans doute le besoin de transcendre une partie de lui-même? Est-ce une simple folie ou une exercice de méditation active favorisant un véritable éveil spirituel?



Les adeptes du dogme que représente les sensations fortes, ceux que j'ai rencontrés sur la route, vous répondrons qu'il s'agit d'un désir de surpassement. Une manière toute naturelle , dépouillé de superficialité de ce sentir. Une occasion de taire le fléau des préoccupation mental, siège de tous les désordres émotionnel et de ce connecter avec une force supérieur; c-elle du silence inculqué par le moment présent. (pour avoir déjà marché sur un fil de fer,escaladé des montagnes à nue, l'expérience parle d'elle-même. La sensation de mourir est tellement grande, que le silence viens sans effort!) Car qui dit sensation fortes évoque également un r-v avec la mort.

Cet élément déclencheur donne ainsi la surdose nécessaire pour transcendre le malaise existensielle (le vide)et le combler par une sensation d'exister dans sa propre vulnérabilité. Ce soumettre aux lois naturelles des cause et effets, de la loi du volume, être aspiré par le vide pour mieux le remplir et ainsi, évacuer ce désir futile d'être en communion avec l'espace qui nous entourent. Puisqu’il s’agit de la première chose qui semble définir la relation entre le voyageur et son environnement. Ce qui créer un contact réel entre celui-ci et l’autre, c’est la peur. C-elle qui favorise un respect mutuel. Transcendre cette peur devient un chemin, un objectif, un mode de vie pour découvrir une partie de soi.

Bon nombre d'adepte de sport-extrême ont débuté une activité extrême qui les terrorisait afin de taire une partie d'eux-mêmes. Cette partie dévoré par le doute et la crainte de l'inconnu. Le simple fait d'avoir oser confronter ce danger, leurs donne aujourd'hui la sensation d'exister et de pouvoir transcendre tout événements dans leurs vies de tous les jours. À première vue, escalader la même paroi, des jours durant ou naviguer sur des eau troubles en kayak révèle pour le non-connaisseur un côté obsessif, voir même inutile. Or, l'adepte de ce type de discipline voit en ses accomplissements, le salut recherché. Une façon saine de communiquer avec le moment présent sans artifice et sans personne interposée. Bref, un buzz naturel pour mieux ce sentir et mettre en pratique le moment présent! Jusqu'à preuve du contraire...

vendredi 21 janvier 2011

Testament d'un Quidam sans âme

Quidam; homme, particulier, semblable, autrui, prochain, mortel, bonhomme, monsieur, citoyen, personne, créature, être, humain, individu.

* Homme dont on ignore le nom.



TOI. Oui toi qui fût une partie de mon destin,
Que je côtoyais à tous les jours, sur le même chemin,
Je mourrais d'envies de te rencontrer,
Il est trop tard, depuis l'on m'a incinéré,

Pour ce simple moment, j'aimerais être ressuscité,
Pour te connaître, TOI, dans tes secrets, dans ton intimité,

Un seul conseil pour éviter cette souffrance atrophié,
De grâce, n'attends-pas que la mèche soit écourté,
Pour dire BONJOUR! au prochain "quidam" que tu pourras rencontrer,

C'est ainsi que le plus grand trésor te sera révélé,
Par ton sourire, par ta grande générosité,
Celui d'être, sans compter, ce qui deviendras ton bonheur le plus entier,

Ceci afin de toujours nous  rappeler l'essentiel,
Avant d'en avoir terminé avec la vie, d'être prêt à rejoindre le ciel,
Que même si nous revêtons l'excuse du  trop pressé, jusqu'à en oublié,
Le prochain "Quidam" rencontré, peux devenir notre meilleur ami ou notre ennemi juré,

Petit conseil improvisé de mon coeur desséché,
Par la froideur de mon regard hypnotisé,
Par ce besoin de tout posséder et en retour, ne rien donner...

...Jusqu'à en mourir...par l'acte du suicidé...







Sur la véritable pauvreté intérieure

Je ne citerai d’aucune façon, la pauvreté des pays sous-développés. Pauvreté que nous, membre des peuples civilisés, cultivés, industrialisés, dominons à travers nos besoins pressant de surconsommation. C’est pourquoi, je signe et persiste à croire que la pauvreté, dans un monde de richesse matérielle  absolu, demande un véritable effort intellectuel.

Puisque le croire c’est le pouvoir

Il suffit de répéter inlassablement le même discours intérieur du manque pour que celui-ci ce manifeste progressivement. À l’encontre de notre discours de victimisation, l’inconscient nourris l’intension et lui donne vie dans le monde manifeste. L’effet inverse pauvreté-richesse est donc la suite logique de ses désirs inconscients. La peur et ses acolytes; le doute, le manque.. Devient donc un maître en soi pour nous dirigé vers le but escompté.

Le plus fascinant, c’est que le chemin opposé apporte l’effet contraire.  Tel un virus qui ce contracte de par une anémie de pensée saine. (Alimenté par le doute, la confusion, l’illusion de la séparation) elle ce propage de manière insidieuse jusqu’à sa pleine mutation ou matérialisation.

Pour avoir vécu une époque d’itinérance et goûté les abysses de la pauvreté intérieure, et donc extérieur, j’ai réalisé le plein potentiel de l’esprit et son mode de fonctionnement. En qualité d’observateur, je réponds qu’il va de soi de prendre conscience des pensées qui nous encombrent l’esprit afin de mieux identifier ses failles pour mieux mobiliser ses forces.

L’illusion de la pauvreté extérieure

À mon humble avis, la pauvreté extérieure, observé dans nos pays industrialisé, est encore une fois, le reflet d’une pauvreté beaucoup plus grande; celle d’une foi absente.  À l’inverse, ceux issus de véritable milieu pauvre, en pays sous-développés, démuni de ressources matérielles, mais aidé de leur foi, puise à même leurs richesses intérieures la force pour faire face à cette causalité et s’ajuster en conséquence.

L’empathie, l’humilité, l’ouverture d’esprit, la gratitude mais surtout la solidarité devient donc un réflexe du cœur pour s’ouvrir à une autre sorte d’abondance illimité. Sinon, comment croyez-vous que bon nombre de sans-abris réussisse à ce sortir de cette impasse, un jour ou l’autre? Ce fût mon salut pour dépasser ce stade « écono-spirituel »et ce l’est encore dans tous les domaines de ma vie.

Croire sans voir

C’est pourquoi, je crois que la pauvreté extérieure dans les pays industrialisé est la conséquence d’une pauvreté beaucoup plus grande que celle, à priori matérielle. La foi perdue entraîne des conséquences dévastatrices sur celui porteur de ce fardeau. La seul solution; croire sans voir. Se tourner vers la lumière, vers la source divine d’où jaillit la force et les idées. Se tourner vers un monde de possibilité, illimité et incandescent.

À l’inverse, le monde limité des apparences devenu trompeur par la force des choses, ne fera que décevoir et décroître le véritable potentiel humain, apte à rallumer la flamme intérieure de chacun.


mercredi 19 janvier 2011

Ôde au déshumanisateur du 2@ième siècle


Celui que nous surnommons le meilleur ami de l'homme ( il a sans doute remplacer le chien depuis son arrivée- Rantanplan ne fais qu'en démordre depuis ce jour fatidique!) Celui qui sournoisement nous as tendus le piège de la facilité.

Néanmoins, sans lui nous ne serions capable de communiquer au quatre coin du globe, encore moins trouver un information à la vitesse éclaire. Le hic, il nous empêche de nous redéfinir naturellement. Le propre de l'homme pour sa survie.

En tant que fidèle utilisateur de la toile, je dédie donc ce cantique des cantiques, l'ôde des ôdes au déshumanisateur du 2@ siècle;

À toi, instrument de torture du 2@ième siècle,
Qui comble toutes mes envies, qui deviens ma cachette existentielle,
Toi qui depuis à remplacé mon cerveau, me rendant plus nono et moins naturelle,
Car réfléchir n'est soudainement plus nécessaire, tu es devenus la solution à tous mes maux,
Tout comme tes fidèles admirateurs, je m'en voudrais de te critiquer,
La vie tu me simplifie, avec toi je peux même faire du blé $$$$,
Le hic, dans ta toile, je me suis fait prisonnier,
Comme cette horde de fidèle au 4 coin du globe, tous hypnotisé,
Par l'oasis de tes faux-plaisir, toujours plus à consommer...viva la virtualité!




Cadeau empoisonné? Exode de mes vices cachés?
Du bout des doigts, le monde je peux visiter et même réinventer,
La fin du monde ou autre problème de société,
Pas grave , car tout cela n'est que virtualité,
N'empêche depuis ton arrivée, le vrai dehors j'ai quasi oublié,
Un dernier email, ou même un aute gadget à télécharger,
Toutes mes cases horaires, du travail, au loisir, même au repos, tu as violé,
Pour faire ton terrain, à l'intérieur du miens. Depuis, je me sens bariolée et étouffé,

Qui l'eus crûe, qu'à partir d'une simple toile, la vie tu allais rendre banale,
La vie était pourtant annoncé pour être remplis de gaieté,

Donc s.v.p, cette vie sacré, pourrais-tu me la redonner....
Ah! et si tu n'est pas convaincu, demande aux autres utilisateurs...il pourrait t'en écrire un papier

Petit poème exorcisant pour démystifier le trouble-fête (après une magnifique rando à l'extérieure!)







mardi 18 janvier 2011

Avant de se faire aspirer par son inspiration...


L'esprit en mode turbulence, je vous offre ce petit poème...inspiré!



Elle arrive de partout et de nulle-part,
L’envie d’inspiration peux vous prendre à tout instant sans votre accord,

Ce vas-vite causé par un esprit trop agité,
San doute une manière d’évacuer la vacuité du cerveau avant de déborder!
Alors toujours, soyez prêt, toujours au boulot,
Elle arrive soudainement, sans avertissement,
Ou elle nous boude pour un certain moment,
Mais toujours, elle nous surpasse inlassablement,
Maîtresse de la folie, elle s’acharne sur n’importe qu’elle idéologie,
En autant qu’elle puisse assouvir sa fantaisie, réinventer le monde selon ses envies,
Alors allez-y, faite lui plaisir, ouvrez votre esprit, faite de la place pour son génie,
Toujours elle vous surprendra par sa poésie sans répit,

Car l’inspiration est votre plus précieux alibi,
Pour donner vie à vos fantasmes endormis
Par le conte, la poésie, ou même la philosophie
Mais toujours pour défense, il faut se détendre,
Car fatigué d’être condamné par sa voie chantante,
Vous devez trouver un moment de silence, avant d’appuyer sur la détente!

dimanche 16 janvier 2011

Le sentiment d'appartenance- La voie vers une autonomie interdépendante

Je me suis longuement penché sur une question, à mon avis, des plus fondamentale; Sommes-nous vraiment indépendant, et si oui comment l'être sans nuire à l'autre?

Préférant s'enfoncer dans un contexte individualiste de dualité constante, la réponse semble expliquer le désarroi et les nombreux malaises de notre monde moderne. . Pour ma part, les équations fournis par mes récents voyages (intérieurs et extérieurs)  donne le ton à ce désir ardent de solidarité. Il va de soi, que la rencontre de l'autre symbolise un retour à la source. C-elle d'où jaillis respect, acception, humilité, honnêteté et disponibilité de cœur autant que d'esprit. De cette manière, servir n'est donc pas une façon déguisé de SE servir mais plutôt d'expérimenter la partie la plus divine qui nous unient tous et chacun, sans doute la compassion.

Croyez-moi, ce soudain discours est loin de mes idéaux d'antan. Réussir et divertir semblait, pendant longtemps, mon seul salut véritable.

L'évidence frappe lorsque vous renoncer à vos intérêt sous peine de périr, mentalement et physiquement. Ce fût mon école de vie pendant nombres d'années. L'école de la souffrance transmise à travers une multitude de dépendance physique et surtout affective, semblait, pendant nombres d'années, la seul façon "logique" de comprendre mon fonctionnement destructif pour assouvir mes besoins divers.  Depuis je me réjouis des enseignements offert par les souffrances que JE m'occasionne pour mieux comprendre, et tâche de me soumettre à ses enseignements en tout temps; Servir pour réussir au lieu de subir pour mieux souffrir!

Je suis donc un fervent de la solidarité, lien sacré du renouveau, une extension humaine vers l'autre. À priori, l'autre est un parfait inconnu, jusqu'à ce rapprocher suffisamment pour reconnaître une partie de sa propre personne!!

Mon prochain blog portera sur Jean Vanier, le fondateur de l'Arche. Une communauté unique dédié au handicapé mentaux et physique. Un exemple vivant de la force de la communauté, mais aussi de ses revers et réalité de tous les jours. Car, qui dit communauté dit acceptation de l'autre dans ses forces et faiblesses. Difficile à avaler pour un aspirant du me, myself and I, je suppose!


dimanche 9 janvier 2011

zzzzzzzzzzzz

Victime de l'escroquerie de la surconsommation? Pour savoir si nous nous faisons berner, encore est-il qu'il faut sortir de son état d'"I"-bernation....sinon...zzzzzzzz
 
 

Mon arme, ma larme

 
 
Mon arme, ma larme
S'"é-crit", se crie avec une plume,
Mais frappe comme un enclume,
Pas pour blesser,
Pas pour déranger,
...Juste pour dire ce qui me plaît,
Au lieu de vivre en retrait,
Prendre ma place,
Bouger dans ma carcasse,
Mes mots, c'est l'excuse,
Pour soigner no't bobo,
D'être "pogné"
dans l'excuse de nos p'tits monde isolés....
Et toi, ton arme, ta larme
Tu l'écris, la crie comment?

Inspiration du moment

mardi 4 janvier 2011

Ensemble....

Plus je m'investis dans mon retour au Québec, plus je constate que ma véritable famille spirituelle ce répand, un peu partout dans le monde. L'accueil, l'enthousiasme, la générosité de cœur et d'esprit est digne de ce qu'une famille peux apporter. En cela, Depuis que je me suis abreuver de ce délicieux breuvage que représente la solidarité, je caresse encore plus le désir de partager ce nectar divin. Il me semble que cette valeur est la plus précieuse; le sentiment d'être apprécier au yeux de quelqu'un, lui offrir une partie de soi, de sa culture. Cette façon de vivre me construit à tous les jours et me nourrit encore plus que tout repas gastronomique! Un exemple à suivre. Je m'en inspire beaucoup.


ENSEMBLE; De par notre ouverture à l'autre, nos sourires et notre chaleur humaine nous pourront faire fondre les plus gros glaciers de l'ignorance et de l'individualisme frigorifiant!!! La fonte des glaciers s'approchent!!! Sinon..pingouin un jour, pingouin toujours...

lundi 3 janvier 2011

Pensée du moment- Thinking outloud

Mon cerveau balbutie parfois, même souvent, en langue seconde. En voici donc un extrait fragmenter sur la notion de sauveur;  
I was trying to woke up others, until I realize I was the only one asleep!! Meaning, life can be a dead end if you try to solve others dilemma…A no way out to a never ending story!! ( J'ai essayé de réveillé les autres, jusqu'à ce que je me rends compte que j'étais le seul à dormir! Dans le sens que la vie peut être une impasse si vous essayez de résoudre le dilemme d'autres ... Le sens unique d' une histoire sans fin! )

Dans cette même ligne de pensée et après mûres réflexions, je réalise que nous, les blancs,par notre obsession du plus, toujours plus, ( sous l'anonymat de la peur du vide!) avons créer le gouffre du non-retour.

Une société  emballé par des petits moments de "sous-vide" baignant dans l'illusion de la séparation, et soumise aux règles du temps psychologique ne peux répondre à ce malaise que par la maladie mentale et/ou autres formes de dépendances . À mon humble avis, seul un retour véritables au sacré et aux "vrais valeurs humaines" nous permettra de rééquilibrer le tout. Sinon, de dire, toutes les missions humanitaires, les grands projets ne seront que poudre aux yeux. Encore une fois, mon âme "nomadique" répond à sa façon!