samedi 25 décembre 2010

Mon petit cadeau 'virtuel' de noel - condensé du projet

Ma contribution à travers le projet philo sur vélo
Synthèse de mes évaluations sur le projet philo sur vélo- Euro-Afrique du nord- Octobre 2008-Décembre 2010
« Dans un monde devenu paradoxal et complexe, le retour aux vrais valeurs humaines semble la seule véritable issue. Intégrité, humanisme et action, sont les premiers mots qui me viennent à l’esprit pour décrire l’impact du projet philo sur vélo. » ( inspirer du bouquin découvrez de Rémi Tremblay)


Sur le vélo;

• Le vélo est un plus qu’un moyen de transport. Non-agressant, parce que propulsé naturellement, il devient un instrument de prédilection pour aller à l’encontre des gens, favorisant ainsi des échanges fortuits et constructifs,

• Le vélo est le symbole de la liberté de déplacement. L’emblème d’un mouvement pacifique révolutionnaire. Digne représentant de l’éloge de la lenteur.
Sur les modes de communication;

• En raison du rythme accéléré des dernières années, de l’incertitude du monde actuel, l’intérêt pour les grandes questions existentielles philosophiques ce manifeste dans toutes les couches de la société,

• Les moyens de communication, tant au niveau des zones rurales qu’urbaines, ce sont littéralement transformés aux cours des 20 dernières années,

• Internet peux s’avérer un outil de distraction, de perds-temps donc nuisible et artificiel, ou un outil de développement éducatif donc riche et naturel,

• Nombreux réseaux sociaux virtuels prouvent la volonté des peuples de ce rapproché.


C’est donc cette ligne de pensée que j’envisage l'évolution du projet. Trouver la bonne niche pour situer ce projet dans un contexte d’échange fonctionnel et efficace.

Les possibilités qui ce rattache à ce projet sont nombreuses (et valider) Il ne manque que votre participation pour couronner le tout!

En ce jour de noel- 2011 tarde à ce pointer

Ami(e)s de tout horizon,

L'arrivée de 2011 semble être quasi-innacessible depuis mon retour. 3 semaines à entasser un maximum de recontre, pour un maximum de résultat. Tout cela après la longue, par moment interminable période de repos du temps de fêtes. Je l'avoue mon côté hyperactif en prends pour son rhume.  Je suis habitué de bouger et donc d'avancer. L'effet contraire des derniers jours me donne l'impression de faire du sur place, fatigue en plus! Un bébé qui tarde à donner naissance ou simple processus naturelle d'incubation? Mon côté cérébral vous répondras, sans doute, qu'il s'agit d'un moment nécessaire pour 'mariner' le tout jusqu'au moment opportun. 2011 semble donc la seul référence valable pour le moment. Ceci-dit la seul qui me reste à faire, et que je vous souhaite, profiter de la période des fêtes pour vous reposer et goûter les plaisirs des retrouvailles en famille...

Mon petit cadeau virtuel;
Afin de vous faciliter la compréhension des objectifs potentiels de mon projet , je vous proposerai un mini-condensé de celui-ci. un 26 mois de vélo en quelques lignes!!

En tant qu’éclaireur, j’ai dépisté nombreuse facettes reliés à l’impact des relations humaines dans les pays soi-disant défavorisé. (vous croyez vraiment savoir ou ce trouvent les soi-disant pays sous-développés?)Demander à l'université de la vie, elle vous répondra. Les dossiers chaud concernant les enjeux environnementaux, la situation sociodémographiques de notre époque n'en sont que la preuve.

Donc ou ce situe mon petit bébé de projet;;
Maintenant enraciné à Québec, Il n’en tiens qu’à trouver un cadre et une gestion appropriée pour lui donner vie, CAD- la bonne niche et la bonne équipe.Ce que je m'empresse de demander pour 2011.

D'ici-là, je vous souhaite à tous un joyeux temps des fêtes sous le signe du repos et de la sérénité!






mercredi 1 décembre 2010

Ode à un ami

Laval, en ce jour de pluie...(De retour de la ville lumière, maintenant dans la ville noirceur)

Le Québec m'accueille de sa froideur pré-hivernale et ses journées courtes, très courte. À peine 16h30, le jour est déjà tombé! Un brin nostalgique, me rappelant mes 26 derniers mois sur la route, je me sens inspiré...

Ode à un ami pour la vie. Un amant par moment. Un confident beau temps, mauvais temps!

Toi que j'ai appris à aimer, à respecter,
Toi qui m'a fait découvrir le sens du mot "liberté",
Qui par moment m'a exigé effort et humilité,
Sans me juger, encore moins me comparer,
Car tout comme moi tu es unique,
Là ou tu m'amène, toujours c'est féerique,
J'ai peine à croire que dans peu de temps je te dirai au revoir,
Jusqu'à notre prochaine rencontre, sur une route quelque part,
Porté par mes élans nomadiques,
Tu m'offres milles et une occasion de devenir philosophique,
Car du haut de ta monture, je suis bouche-bé,
Devant la vie en mouvement, un spectacle des plus coloré,
Vélo, ami inconditionnel du cycliste que je suis ,
Au nom de tous ceux pour qui tu as changé la vie, je te dis ..MERCI!







lundi 22 novembre 2010

Le début de la fin- le syndrome du voyageur en herbe?

Quelques semaines et quelques 750 km plus tard...

Depuis mon passage dans les magnifiques régions pittoresque de la Dordogne, de la Beauce et des autres régions du centre de la France, en plus du retour des saison froide à saveur hivernale, une série de question martelle soudainement ma matière grise. Quand devrais-je arrêté mon périple à vélo? S'agit-il de mon premier et dernier périple à vélo avant le retour à la normalité ?(le fameux métro-boulot-dodo encastrant)Une série de question obsédante lorsque le doute s'installe. T-elle fût mon discours intérieur de mes derniers jours à vélo.

Quoique nécessaire pour des raisons financières et administratives (le fameux visa),  il m'est encore difficile de répondre à cette douleureuse décision, puisque mon statut cyclo-nomade est motivé par un carpe diem intemporel (hélas, pas mon compte en banque!!).Malgré tout les avantages du confort moderne, il m'apparaît difficile d'imaginer un autre scénario que celui de la liberté de l'expression et du mouvement ! Tout comme une drogue, ce périple à vélo m'a donner un que je peu difficilement mettre à l'écart. Cette sensation quasi-orgasmique de parcourir un monde sans fin. De découvrir ses habitants, ses cultures et toutes ses différences, à la vitesse d'un papillon. Que demander de plus!

Sans doute qu'une cure géographique procure un rétablissement en ce sens. Néanmoins, je comprends d'avantage les accrocs du voyage. Les nomades qui ne tiennent plus compte de la réalité, fuyant leurs devoirs de citoyen.Peux t-on vraiment les blâmer? 

En cela, je vous propose la réflexion suivante. Une question sur laquelle bon nombre de philosphe ce sont cassé les dents depuis: L'homme est-il foncièrement nomade ou sédentaire?

Entretemps, je me prépare pour la suite, soit un retour vers le Québec en décembre prochain.

(A suivre)



samedi 9 octobre 2010

À consommer avec modération


23 septembre 2010
Sarlat-Périgueux-Brantôme 100km
À consommer avec modération
Le GPS;
 « Pure merveille quand il fonctionne,
    Pure merde  quand il déconne! »…
Parole de cyclo-nomade propulsé électroniquement

Les magnifiques sites préhistoriques observé sur les chemins de la Dordogne m’ont inspiré les quelques lignes portant sur la soi-disante évolution des modes de communication actuel
Retour en arrière avant l’avénement des joujous de l’électronique

À consommer avec modération
L’apparition des gadgets électronique, tel le GPS,  depuis peu le notebook, ajoute un luxe certain au voyageur en herbe. Hélas, ils enlèvent la part de risque, de confrontation  et discernement propre au voyage.  Or, il ajoute un élément essentiel de communication, de repère et de précision. La même situation s’applique au niveau des rapports humains. Avant, il fallait défier ses peurs et ses gênes pour demander à l’autre un simple service. Aujourd’hui, avec  l’avènement de site d’hospitalité sur intenet dédié aux voyageurs, il est possible de le faire les doigts dans le nez! Sans tracas aucun, sauf celui de faire les recherches nécessaire. Un véritable « fast-food »ambulant. Un mal pour un bien puisque trop facile, favorisant ainsi la paresse absolu et la dépendance futile à internet. Ainsi fait, ainsi consommé le consommateur-voyageur évite l’ultime récompense du voyage; l’inconnu et la surprise des circonstances. Ce type de contrôle favorise un voyageur désintéressé de l’autre, parce que peux concerner, imbu de ses besoins personnels. L’individualisme à son paroxysme!
Malgré tout, les réseaux hospitaliers sont un « must » pour bien découvrir une culture et partager des moments uniques et conviviaux, le gagne-pain quotidien du nomade. Même chose pour les GPS qui évite beaucoup de désarroi. Donc, oui à l’électronique, aux réseaux hospitaliers, mais gaffe à l’accoutumance!
À consommer avec modération, c’est une question de « GBS » après tout!

Luzech- Sarlat-Canéda, 115 km

Luzech- Sarlat-Canéda,  115 km
Chronique du monde vu de mon vélo,
Inspiré de mon passage dans la magnifique cité médiévalo-touristique de Sarlat;

Depuis l’avènement d’internet, nous somme entré de plein fouet dans l’air des globe-trotters express, moyennant quelques milliers de dollars, vous pouvez faire le tour du globe en moins de 3 mois! Ce qui signifie une moyenne approximative de 5 pays visité par semaines, et autant de continent par mois. Idem pour le tourisme spatial. De quoi être étourdis et déboussolé au retour!
Jules Vernes ce retournerait dans sa tombe de savoir pareil possibilité!
Et dire que pendant ce temps, je gravite autour des même pays depuis 2 ans! Soupir
Je crois, pour avoir vécu les 2 options, que le voyage ce déguste une bouchée à la fois. Visiter 30 pays en 3 mois, et explorer autant de culture, d’expression, de tradition, apporte l’effet contraire. Les conséquences sont identiques lorsqu’on ce gave dans un buffet à volonté, sans limite. Boulimique s’abstenir.
Somme toute, il est fort alléchant d’imaginer une tournée du globe sans effort aucun. Le confort absolu, sans soucis, sans responsabilité, sans…réalité!  Un mode de télé-portation de votre salon à travers toutes les nations du monde. Or, le danger, c’est de manquer le cadeau que  procure le voyage à ceux susceptible dans découvrir les vertus.
Pour avoir déjà bossé dans des centres de villégiature, sur terre et sur mer, je peu vous témoigner de cette vérité. Les conditions de l’offre et de la demande, perpétuellement soumis aux exigences incalculable du consommateur sont  vite résolu pour combler le moindre de ses caprices. Ce qui , pour conséquent, favorise une demande toujours plus ingrate porté vers la loi du moindre effort. Qui peut-on blâmer après tout?
 

VIVEMENT UN RETOUR À UNE PHILOSOPHIE ACTIVE...ET REACTIVE!

Puisque ce blog se consacre essentiellement au partage d'idées philosophiques pratico-pratique, active et réactive, quoi de mieux qu'un biais sur les bienfaits de l'humour. Tout cela, bien sûre, à partir de mon périple actuel sur les routes de l'Europe. Le vélo, ce transporteur d’idée devient ainsi une source intarissable d'inspiration et d'histoire anodines! Il favorise une méditation active, un éveil des sens. Je consacrerai donc ce blog à un travail de réflexion, de remise en question sur la vie dans son ensemble. Depuis le début de mon périple, je constate l’influence de la culture, de la religion sur nos conditionnements respectifs. À tout égard et malgré une manque d’intérêt à repenser la vie, la philosophie nous offres la possibilité de réapprendre à vivre, ceci afin de mieux ce comprendre dans sa relation avec l’autre. Une fois maîtrisé, la philosophie devient une clé passe-partout qui peut instantanément ouvrir la serrure de nos prisons intérieures. C’est l’antidote pat excellence pour revoir le monde dans son ensemble et dédramatiser des situations que nous jugeons jusqu’alors inchangeable. En ce sens, l’humour est la potion magique pour nous donner l’énergie et l’espoir pour ce déconditionné de nos mentalités désuets et très limités.

Pour la philosophie orientale du Zen, l’humour est la voie de la liberté. Il secoue insolemment l’arbre à doctrines, et le dépouille de tout son superflu ! (extrait du livre sur l’humour zen

C’est pourquoi,

L’humour est une autre façon d’envisager l’existence, d’interpréter le monde. Il relativise, allège, éveille. C’est la posologie naturelle contre l’intellectualisme, le verbalisme. Son remède c’est l’expérience directe, souvent oublié par la complexité des grandes théories non-pratique.

L’humour Zen, à toutes les époques, face aux religions organisées, aux cultures les plus diverses, donne un formidable coup de pied au derrière. Il invite au-delà le dogmatisme à la simplicité de l’amour sans limites, à l’infini patience, à l’accueil de tous et de tout. Il entrouvre la porte sans porte de l’éveil.