mercredi 25 mai 2011

Il était une fois...les indiens

De retour du far-west américain, de ma rencontre avec les Navajos (leur territoire et leur culture) combiné  au développement de mon nouveau concept de séjour expérientiel à vélo, je vous propose une réflexion à "air ouverte", sur le sens de l'apprentissage selon la philosophie amérindienne;

  Les amérindiens nous ont laisser, aux cours des siècles, un monde empreint de mythes, de symboles et d’éléments  sacrés . Ce peuple, jadis,  uni à la terre. Mais que reste-t-il de la richesse de leurs enseignements? Est-il enseveli sous le poids du monde moderne? Bien que l'impression que la ligné des connaissances amérindiennes ce soit dissout, voir même éteinte, elle est toujours vivante. D'une richesse et d'une valeur inestimable, aux yeux de ceux capable de comprendre l'essence de leurs traditions et de leur communion avec la terre mère.

Pour ma part, plus les années passent et plus je réalise l'importance de revenir à la maison.. Je ne fais pas illusion à une adresse civique quelconque (quoique nécessaire pour mieux s'enraciner!) .mais plutôt un état d'être propre à un sentiment maternel. La sensation de renouer avec la chaleur humaine, la simplicité par l’équilibre des quatre éléments. Bon, je vous mets en garde; aux cours des dernières semaines., j'ai "épluché" un nombre considérable de livre dédié à la philosophie amérindienne. Accroc d'un retour aux sources par la voie simple et naturel, je ne fais que du rattrapage académique!

À ce sujet, et selon mon avis, les écoles publiques gagneraient d'avantages à orienter leurs approches académiques de manière plus globale. Pour mieux ce comprendre afin de mieux interagir avec son environnement intérieur et extérieur. Du chinois, vous me direz! N'empêche. les écoles de demain qui miseront sur l’apprentissage qualitatif (moins mais mieux) par l'expérience deviendront, un jour, une nécessité pour pallier les maintes déficit du monde moderne. Loin des établissement misant essentiellement sur un apport quantitatif (toujours plus,plus, plus d'informations!). Car au-delà du paraître, de l'avoir, du faire et du savoir, réside un élément souvent négligé l'être.

En ce sens, le mode de vie ancestral des amérindiens peux nous transmettre une manne de possibilité et d'alternative, issu de l'école la plus modeste qui soit; C-elle de la vie. La nature étant sa tutrice.  Pensez-y, un retour aux sources obligé, avant que l'être devienne le faire!



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